Je vous rappelle à tous que les contributions de chacun sont les bienvenues pour l’animation de la slow. Je n’ai pas le monopole de la chose, ni aucun des autres animateurs passés, présents (et, a priori, à venir !). Donc « qui veut » peut animer la slow, en gardant à l’esprit des règles de bon sens pour ce qui concerne l’apprentissage :
– choisir un morceau relativement connu (1)
– choisir un morceau ni trop compliqué ni trop long (2)
– … et connaitre suffisamment le morceau !
Pour ce qui concerne la partie session de la slow, tout le monde peut lancer son morceau, ou son set. C’est l’occasion de tester ses propres capacités à jouer des airs qui peuvent être connus même s’ils n’ont pas été vus, récemment ou pas du tout, à la slow. Et ça peut donner des idées !
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(1) comprendre « qui pourra être joué et repris par d’autres ailleurs qu’au QM » ; pour savoir si un morceau est connu, le site thesession.org indique le nombre d’enregistrements dans lequel figure le morceau, ainsi que le nombre de fois où ce morceau a été mis dans les tune books des habitués du site ; on peut ainsi se faire une idée de sa popularité. Assister aux autres sessions, parisiennes et d’ailleurs, est une autre manière de se forger une idée. Le but de la slow est de fournir un répertoire capable d’être joué partout.
(2) 3 parties semblent un maximum ; des exceptions peuvent être faites par exemple si une des parties est une reprise d’une partie précédente jouée à l’octave – comme dans Nine Points of Roguery ou Fox Hunter’s – même si les doigtés ne sont pas les mêmes pour les instruments autres que flute/tin/pipes. Par le passé, il y a eu des séances avec 2 morceaux à l’apprentissage, et ça fait beaucoup : on n’a plus beaucoup de temps pour jouer. Sans compter que, au rdc, les nerfs de Franck et de ses clients sont mis à rudes épreuves (sauf les jours de matchs où là ce sont les nôtres !)